Dans les territoires agricoles, la préservation de la biodiversité passe par celle des haies, à la fois lieux de vie et chemins de traverse pour la faune et la flore. Face au déclin des réseaux bocagers en France, l’impulsion des politiques publiques et les connaissances issues de l’agro-écologie doivent permettre de leur rendre toute leur place dans le paysage rural, au service de systèmes agricoles repensés : le séminaire national organisé par l’Office français de la biodiversité (OFB) à l’automne 2021 a planté quelques jalons dans cette voie, au coeur du bocage normand.

Ce guide technique vise ainsi à mobiliser autour ces enjeux et à donner les clés pour agir. Il a vocation à apporter des éléments de connaissance ainsi que des éléments pratiques et opérationnels au sein de ses 3 parties : Partie A : éléments de définitions relatifs à la Trame noire et à ses interactions et complémentarités avec la TVB.

Lors de cette journée organisée par Natureparif, la présentation de résultats de travaux de recherche comme d'actions menées en Île-de-France mais aussi dans d'autres grandes agglomérations françaises ont permis de mieux comprendre les phénomènes et les moyens d'agir pour favoriser des continuités écologiques urbaines fonctionnelles dans le cadre du plan d'action stratégique du Schéma Régional de Cohérence Ecologique.

A la suite de la note technique "Petits ouvrages hydrauliques et continuités écologiques : cas de la faune piscicole", le Cerema et l'Onema ont organisé une journée technique sur ce sujet à destination des maîtres d'ouvrages publics et privés, des maîtres d'œuvre, des bureaux d'études, etc.

A partir de nombreux exemples, la journée a permis de répondre aux questions suivantes :

L'édition 2014 du Conseil des Marais a présenté l’outil Trame verte et bleue sous l’éclairage d’expériences de mise en œuvre sur des territoires au travers d’exemples d'intégration de ces enjeux dans les documents d'urbanisme ou de la réalisation d'opérations concrètes de remise en bon état de continuités écologiques.

L'objectif de cet événement, soutenu par ECNC (European Centre for Nature Conservation) et la Commission européenne, a été d'échanger sur les différentes politiques d'infrastructures vertes en Europe. La première journée a été consacrée à l'intégration de l'infrastructure verte aux différentes échelles ; la seconde portait sur son déploiement dans l'ensemble des secteurs concernés.