Cette thèse explore les liens entre l’écologie du paysage, qui analyse les relations entre les organismes et la configuration spatiale des habitats, et l’écologie sensorielle, qui étudie les interactions entre les organismes et leur environnement par le biais des sens. Elle met en lumière l’impact des pollutions sensorielles (lumière, bruit, odeurs) sur la biodiversité, en fragmentant les habitats et en perturbant les déplacements des espèces. L’objectif est d’intégrer ces enjeux sensoriels dans les politiques de conservation, notamment les trames écologiques. Cette démarche vise à mieux prendre en compte la perception sensorielle dans la préservation de la biodiversité.
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